Quel verre à whisky choisir ?
Vous connaissez un grand amateur de single malt et vous voulez lui faire plaisir en lui offrant un verre à whisky dans lequel il pourra déguster un bon whisky ou vous êtes vous-même un grand amateur et vous voulez vous faire plaisir ? Vous êtes au bon endroit. Sur ce site nous vous guidons dans le choix de votre lot de verres pour garantir au maximum le plaisir de dégustation. Attention toutefois, si parfois le site pourra être élogieux avec certains whiskies, il s’agit d’une boisson à consommer avec modération.
Le service à whisky décoratif
C’est l’attirail classique vu et revu dans moult séries télévisées (pas forcément toutes américaines) dans lesquels le principal personnage masculin, de retour au bercail en fin de journée, ôte le bouchon de cristal de la carafe et se sert un “drink”.
Verre à whisky de soif
Disons-le tout net, on privilégiera ceci pour l’aspect décoratif. Évidemment, en dehors de ce dernier, il n’est pas interdit de goûter de temps à autres au contenu de la carafe, mais on l’aura remplie avec un blend, un whisky “de soif”, celui que l’on peut mouiller de glaçons ou même allonger d’eau gazeuse.
Les meilleurs verres pour la dégustation du whisky
De ce point de vue, on peut s’inspirer, au moins pour leur forme (moins pour leur taille) des verres de type ISO ou INAO. Ceux-ci ont été pensés de façon à pouvoir apprécier au mieux les arômes des vins, en s’appuyant sur le principe selon lequel le volume du vin et sa surface de contact avec l’air conditionnent directement le développement des arômes. Ce postulat est tout aussi valable pour le whisky ! Simplement, comme, en principe tout au moins, on ne remplit pas un verre à whisky comme un verre à vin, on s’en inspirera pour leur forme uniquement : un verre ISO mesure entre 15 et 16 centimètres de haut, pour une contenance variant entre 210 et 225 ml, sachant que l’on n’y verse jamais plus de 60 ml, le volume optimal étant de 50 ml, la surface du vin correspondant alors à l’endroit le plus large du verre.
Depuis de nombreuses années, pour le “nosing”, les maîtres distillateurs et surtout les maîtres assembleurs, au moment de composer leurs blends, ont opté pour le copita, lequel, au départ, est destiné au xérès (sherry), mais qui, de par sa forme (comme nous l’avons décrite plus haut : celle d’une tulipe allongée, resserrée vers le haut), convient parfaitement.